|
2 years ago | |
---|---|---|
bin | 3 years ago | |
conf | 2 years ago | |
lib | 2 years ago | |
mod | 3 years ago | |
msg | 3 years ago | |
LISEZMOI.txt | 3 years ago | |
README.md | 2 years ago | |
install.sh | 3 years ago |
Le socle Bash est une version allégée d’un ensemble de bibliothèques et fonctions écrit en grande partie par Emmanuel Confrère, émminent DBA Calédonien qui nous a autorisé à l’utiliser au sein du Tetalab, et dont l’utilité est d’assurer la cohérence des scripts qui s’appuient dessus.
Ce socle Bash est fiable et robuste. Il peut sans aucun doute être utilisé en production à la condition que l’ensemble des conseils listés dans la documentation soient respectés.
Entre autres fonctionalités ce socle Bash permet aux scripts qui s’appuient dessus:
L’installlation du script bash est simple et nécessite les droits root.
Éditez le fichier de configuration ./conf/install_init.conf de manière à ce que les variables qui y sont définies correspondent à vos besoins.
# La variable d'environnement qui définira l'emplacement
# de l'ensemble du socle Bash
NC_EXPL_ROOT=/opt/tetalab
export NC_EXPL_ROOT
# Le repertoire d'installation des fichiers de profiles système
PROFILE_DIR=/etc/profile.d
# Le nom du fichier de profile système à créer
PROFILE_FILE=tetalab.sh
# Utilisateur administrateur de l'infrastructure
ADMIN_USER=asr
# Groupe des utilisateurs habilités à utiliser le socle
ADMIN_GROUP=asr
Lancez l’installation en tant qu’utilisateur root (ou sudo):
sudo ./install.sh
La racine des dossiers utilisée par le socle Bash est définie par la variable d’environement NC_EXPL_ROOT. Cette dernière est initialisée à la connexion par l’appel au fichier de profile (voir installation)
Cette arborescence ainsi que les variables d’environement qui en découlent sont utilisées par tous scripts Bash
Sous l’arborescence ${NC_EXPL_ROOT} on trouve les dossiers suivants :
+-----------------+-----------------------------------------------------------------------------------------------+
| Dossier | Description |
+-----------------+-----------------------------------------------------------------------------------------------+
| {Racine}/bin | Contient les binaires (scripts Bash) |
| {Racine}/conf | Contient les fichiers de configuration des scripts, ainsi que du socle |
| {Racine}/cpt | Contient les fichiers de comtpe-rendus génerés par les script (purge auto, 8 jours par défaut)|
| {Racine}/dat | Contient les fichiers de données gérés par les scripts |
| {Racine}/hist | Contient l'historique d'exécution des scripts (pas de purge) |
| {Racine}/lib | Contient les bibliothèques chargées par le socle |
| {Racine}/log | Contient les fichiers de logs d exécution des scripts (purge auto , 8 jours par défaut ) |
| {Racine}/man | Contient les fichiers d'aide des scripts pour l'utilitaire "man" |
| {Racine}/mod | Contient les fichiers modèles (templates) à usage des scripts |
| {Racine}/msg | Contient les fichiers de messages des scripts utilisés par la bibliothèque "fct_erreur" |
| {Racine}/tmp | Contient les fichiers temporaires des scripts |
+-----------------+-----------------------------------------------------------------------------------------------+
Note: Sous chaque dossier vous trouverez un fichier texte lisezmoi.txt decrivant l’usage du répertoire.
Le socle utilise deux groupes de variables. Le premier dit “global” le second “de session”.
Sauf si explicite, les variables globales sont définies et exportées à la connexion. Elles sont donc utilisables par tous les scripts, mais elles ne sont pas modifiables.
Les variables de session sont définies à l’execution d’un script et lui sont propres. Cependent certaines d’entre elles sont transmises aux scripts enfants:
Les variables de session sont modifiable à 2 niveaux. De facon globale dans le fichier init.conf ou pour un script particulier dans le fichier ${NC_EXPL_CFG}/.conf.
La valeur définie dans init.conf sera utlisée sauf si elle a été surchargée dans le fichier de configuration du script.
Il y a cependant une spécificite pour SH_RETENTION_CPT et SH_RETENTION_LOG:
ces variables sont définies une et une seule fois lors de la première initialisation. Ce qui signifie qu’un script qui aurait surchargé ces variables ignorera l’initialisation de ces variables si il est appelé par un autre script.
+-------------------+----------------------------+
| Nom | Usage |
+-------------------+----------------------------+
| NC_EXPL_ROOT | Racine /opt/expl |
| EXPL_ROOT | Alias pour NC_EXPL_ROOT |
| NC_EXPL_BIN | Pointe vers {Racine}/bin |
| NC_EXPL_CFG | Pointe vers {Racine}/conf |
| NC_EXPL_CPT | Pointe vers {Racine}/cpt |
| NC_EXPL_DAT | Pointe vers {Racine}/dat |
| NC_EXPL_HST | Pointe vers {Racine}/hist |
| NC_EXPL_LIB | Pointe vers {Racine}/lib |
| NC_EXPL_LOG | Pointe vers {Racine}/log |
| NC_EXPL_MAN | Pointe vers {Racine}/man |
| NC_EXPL_MOD | Pointe vers {Racine}/mod |
| NC_EXPL_MSG | Pointe vers {Racine}/msg |
| NC_EXPL_TMP | Pointe vers {Racine}/tmp |
| RUBYLIB | vaut ${NC_EXPL_LIB} |
| NC_EXPL_SRVBATCH | Nom du serveur Batch |
+-------------------+----------------------------+
Les variables NC_EXPL_ROOT, EXPL_ROOT et NC_EXPL_SRVBATCH sont définies dans le fichier de profile (voir installation)
Les autres variables NC_* sont définies dans le fichier profile_init.env
Cette liste n’est pas exhaustive, seules les principales variables sont citées.
+--------------------+-------------------------------------------------------------------------------+
| Nom | Usage |
+--------------------+-------------------------------------------------------------------------------+
| SH_SESSION_ID | Numero unique d'exécution : <TimeStamp>_<PID> |
| SH_SILENCE | Active ou non l'affichage des messages via fct_message. Par defaut vaut "non" |
| SH_PROG | Nom du script |
| SH_LOGUSER | Compte initial de connexion au serveur |
| SH_EXECUSER | Compte courant exécutant le script |
| SH_DIR | Dossier hébergeant le script |
| SH_PROG_VERSION | Version du script |
| SH_FICTRC | Pointe vers le fichier ${NC_EXPL_HST}/<Nom_du_script>.hist |
| SH_FICMSG | Pointe vers le fichier ${NC_EXPL_MSG}/<Nom_du_script>.msg |
| SH_FICCFG | Pointe vers le fichier ${NC_EXPL_CFG}/<Nom_du_script>.conf |
| SH_FICSEM | Pointe vers le fichier /dev/shm/<Nom_du_script>.sem |
| SH_FICLOG | Pointe vers le fichier ${NC_EXPL_LOG}/<Nom_du_script>.log |
| SH_FICCPT | Pointe vers le fichier ${NC_EXPL_CPT}/<Nom_du_script>.cpt |
| SH_NIV_DEBUG | Vaut 0 par défaut. Niveau d'affichage dans les fichiers de traces |
| SH_RETENTION_CPT | Vaut 8 par défaut. Duree de rétention en jours des fichiers de compte-rendus |
| SH_RETENTION_LOG | Vaut 8 par défaut. Duree de rétention en jours des fichiers de traces |
| SH_TMP_DIR | Le nom du répertoire temporaire pour la session ($NC_EXPL_TMP/$SH_SESSION_ID) |
+--------------------+-------------------------------------------------------------------------------+
Remarques :
Cette partie décrit sommairement les quelques règles d’usage pour écrire un script Bash avec le socle.
Les scripts doivent commencer par le cartouche ci-dessous :
+----------------------------------------------------------------------------------------------------+
| |
| #!/bin/bash |
| ##---------------------------------------------------------------------------- |
| ## Script : <Nom_du_script> |
| ## Module Puppet : <Nom_du_module_hebergeant_le_script> |
| ## Auteur : <Auteur ayant cree le script> |
| ## Date : <Derniere_date_d_actualisation_au_format_JJ-MM-AAAA> |
| ## Version : <Version> |
| ## Objet : <Resume de la fonction> |
| ## |
| # ---------------------------------------------------------------------------- |
| # Mise a jour : |
| # <Version> <Date> - <Auteur> - <Action> : <Description> |
| # 0.0.1 08-06-2016 - Toto Laricot - Cre : Creation |
| # 0.0.2 08-09-2016 - Titi Alapeti - Ano : Ce truc est faux |
| # ---------------------------------------------------------------------------- |
| # Dependance : |
| # @DEP: <Nom_du_script>:<Version[-|+]> |
| # ---------------------------------------------------------------------------- |
| # Liste des options et arguments |
| # @OPT: <type>:<nom>:<var>:<nb_arg>:<def_val>:<OptE>:<OptI>:<ctl_val> # <Commentaire> |
| # @OPT: <type>:... # <Commentaire> |
| # @ARG: <type>:<var>:<nb_arg>:<def_val>:<ctl_val> # <Commentaire> |
| ##---------------------------------------------------------------------------- |
| ## |
| ## Syntaxes : |
| ## -------- |
| ## |
| ## prompt> <Nom_du_script> <Liste_des_arguments_et_options> |
| ## |
| ## <Opt1> : <Description> |
| ## |
| ## Fonctionnement : |
| ## -------------- |
| ## |
| ## <Que fait le script dans les details et comment ca marche......> |
| ## |
| ##---------------------------------------------------------------------------- |
+----------------------------------------------------------------------------------------------------+
Note: Les lignes commençant par 2 “#” sont utilisées pour générer l’aide, leur maintient est donc nécéssaire pour garantir la fiabilité de l’information. Ce sont ces lignes qui sont lues lors de l’utilisation de l’option par defaut “-h”.
<Action>: peut prendre les valeurs suivantes:
cre : Création du script.
evo : Évolution du script -> Ajout de nouvelles fonctionnalités, Amélioration du code.
ano : Correction du code suite à un comportement inattendu.
typo : Ajout de commentaires, de texte ou corrections gramaticales sans influence sur le code.
<Auteur>: <Prenom> <Nom>
<Version>; : Format x.y.z Pour le suivi des versions on utilisera le versionnement sémantique (voir paragraphe III-1.2).
Mise à jour: Ce paragraphe est utilisé pour suivre l’evolution des versions. La dernière version en vigueur doit être reportée dans le premier paragraphe.
Dépendance: Permet de définir la liste ainsi que la version des scripts qui sont appelés. Dans le cas d’un changement cela permet de connaître les scripts qui sont impactés. Pour le moment aucun script n’exploite cette méta-donnée qui est presente pour un future usage.
Liste des options: La déclaration des options n’est pas obligatoire.
Si aucune déclaration n’est présente alors la bibliothèque params.lib ne fait aucune action. Dans ce cas les options par défaut -h, -log, -hist, -cpt, -s et -dbg ne seront pas disponibles.
Si le script ne nécessite pas d’option mais que l’on souhaite disposer des options par défaut, il faudra déclarer une option bidon.
# @OPT: f:bidon::::::
Si la déclaration existe alors le socle gèrera les paramètres en entrée du script, ainsi que les options par défaut -h, -log, -hist, -cpt, -s et -dbg.
Ces mots clé sont reservés et ne peuvent pas être utilisés par le script.
La déclaration est réalisée dans le paragraphe “Liste des options et arguments”. Chaque option est identifiée par l’entête de ligne “# @OPT:” suivi de la description.
La description consiste en une liste de paramètres séparés par “:”
<type>:<nom>:<var>:<nb_arg>:<def_val>:<OptE>:<OptI>:<ctl_val>
L’ordre des paramètres est figé et tous doivent etre présents.
8 champs sont obligatoires, soit 7 caractères “:” (on ne compte pas le caracatère “:” suivant @OPT).
Exemple de déclaration valide :
# @OPT: fb:h::0:::
# @OPT: fb:s::0:::
# @OPT: f:dbg:SH_NIV_DEBUG:0/1:::
# @OPT: fb:log::0:::
# @OPT: f:hist:SH_ARG_HIST:0/1:10::
# @OPT: oM:i:G_INSTANCE:1/1:ALL:dbid:
# @OPT: oM:pr:G_PR_NOM:1/1:sq,t,l:
<type>: Propriété de l’attribu défini par l’aggrégation des lettres suivantes:
f -> Option falcultative
b -> Booléen
o -> Option obligatoire
M -> Argument transformé en majuscule
<nom>: nom de l’option (sans le tiret). Attention le nom de l’option est sensible à la casse.
<var>: nom de la variable dans laquelle sera stockée le(s) argument(s) si plusieurs arguments alors un tableau sera initialisé <var[n]> L’index [n] commence à zero. Le nombre d’arguments effectivement passés à la commande est ${#<var>[*]}. La valeur max de l’index [n] est ${#<var>[*]} - 1.
<nb_arg>: nombre d’arguments attendus de la forme “min/max”, “min/”, “max” ou “” si vide ou “0” alors l’option est booléene. la forme “min/” considère le nombre max non determiné (infini)
<def_val>: Valeur par défaut assignée à <var> Fonctionne si <nb_arg> vaut 0/1 1/1
<OptE>: Liste des options mutellement exclusives séparées par une virgule.
<OptI>: Liste des options inclusives séparées par une virgule.
Lors de l’initialisation les marqueurs “@OPT” sont lues et analysées. Le résultat est comparé aux arguments et options sousmis au script et les variables suivantes sont initialisées …
SH_OPTION_<nom>: Initialisée à “1” (Vrai) ou “0” (Faux) selon que l’option est respectivement utilisée ou non. Il existe toujours une variable par option déclarée. Ceci concerne aussi les options par défaut gérées par la bibliothèque params.lib.
SH_ARG_<nom>: Cette variable existe uniquement si le champ <var> est null et si le type n’est pas booléen. Par défaut elle est initialisée à null ou avec la valeur <def_val> Si le champs <var> est renseigné, alors SH_ARG_<nom> est remplacée pas <var>. Si l’option associée peut prendre plusieurs arguments, alors les variables SH_ARG_<nom> ou <var> sont des tableaux dont l’index commence a zéro. La taille du tableau peut etre récuperée via ${#SH_ARG_<nom>[*]} ou ${#<var>[*]}.
Les options -h, -s, -log [id], -hist [N] et -dbg N sont prises en charge automatiquement. Ces noms sont donc reservées.
Les options par défaut réalisent les actions suivantes :
-h : Affiche l'aide du script (Ligne du cartouche qui commence par "##")
-s : Mode silence. Plus d'affichage sur le terminal.
Initialise la variable SH_SILENCE a "oui"
-log [id] : Affiche le dernier journal ou le journal "id" (identifiant de session d'exécution).
-cpt [id] : Affiche le dernier compte-rendu ou le Compte-rendu "id" (identifiant de session d'execution).
-hist [N] : Affiche l'historique des "N" dernières executions (N=10 par défaut)
-dbg N : Activation du mode debug au niveau "N". Active les messages gérés par la bibliothèque fct_message
dont l'option -debug est utilisée.
Attention: Si aucune option “@OPT:” n’est déclarée alors il n y aura pas de prise en charge des arguments.
Si votre script ne nécessite pas d’option, mais qu’il presente des arguments, il faudra alors déclarer une option bidon :
# @OPT: f:bidon::::::
La déclaration est réalisé dans le paragraphe “Liste des options et arguments”. Elle est identifiée par l’entête de ligne “# @ARG:” suivi de la description.
Il ne peut y avoir qu’une ligne de description pour les arguments. (Si plusieurs lignes avec le marqueur @ARG existent, alors seule la premiere est prise en compte).
La description consiste en une liste de paramètres séparés par “:”
<type>:<var>:<nb_arg>:<def_val>:<ctl_val>
L’ordre des paramètres est figé et tous doivent être présents.
<type>: Propriété de l’attribu défini par l’aggrégation des lettres suivantes:
f -> Argument falcultative
o -> Argument obligatoire
M -> Argument transforme en majuscule
<var>: nom de la variable dans laquelle sera stockée le(s) argument(s) si plusieurs arguments alors un tableau sera initialisé <var[n]> L’index [n] commence à zero. Le nombre d’arguments effectivement passés à la commande est ${#<var>[*]}. La valeur max de l’index [n] est ${#<var>[*]} - 1.
Si <var> n’est pas renseigné alors la variable SH_ARGS[] est initialisée
<nb_arg>: nombre d’arguments attendus de la forme “min/max”, “min/”, “max” ou “”. si vide alors on considère que le nombre d’arguments est a minima de 1. la forme “min/” considère le nombre est a minima de “min”.
<def_val>: Valeur par défaut assignée à <var> Fonctionne si <nb_arg> vaut 0/1 1/1
Attention: Si le caractère “&” est présent dans la valeur d’un argument, alors cette valeur doit être encadrée par une simple quote et le caractère “&” doit être protégé par un anti-slash “\“.
si le caractère “&” n’est pas protégé le shell génèrera un fils qui tentera l’execution d’un script portant le nom de la valeur de l’argument ! Effet de bord garanti !
L’idée de l’utilisation du versionnement sémantique est de définir clairement les intentions d’un changement dans un code pour les clients de ce dernier. Ceci permet de fiabiliser la mise en place de dépendances et de déterminer les impacts d’un changement.
Le format utilisé est le suivant: X.Y.Z
Il doit etre incrementé si des changements dans le code n’assure plus la compatibilité ascendante. Les identifiants de version mineure et de correction doivent etre remis à zero quand l’identifiant de version majeure est incrementé.
Version mineure Y: Doit être incrementé lors de l’ajout de nouvelles fonctionnalités ou d’amélioration du code qui n’ont pas d’impact sur la compatibilité ascendante. L’identifiant de version de correction doit être remis a zero lorsque l’identifiant de version mineure est incrementé.
Version de correction Z: Doit être incrementé si seules des corrections rétro-compatibles sont introduites. Une correction est définie comme un changement interne qui corrige un comportement incorrect. Il peut être incrementé lors de correction typographique ou grammaticale.
Par défaut les bibliothèques du socle sont chargées à la connexion. Mais pour qu’elles puissent être operationnelles il faut initialiser les variables de session.
Ceci est réalisé en sourcant le fichier “${NC_EXPL_CFG}/init.conf” au debut du script :
Remarque: L’analyse des options et arguments est aussi réalisée par “${NC_EXPL_CFG}/init.conf”.
+----------------------------------------------------------------------------------------------------+
| |
| #!/bin/bash |
| ##---------------------------------------------------------------------------- |
| . |
| <CARTOUCHE> |
| . |
| ##---------------------------------------------------------------------------- |
| #----------------------------------------------------------------------------- |
| # Initialisation de l environement |
| #----------------------------------------------------------------------------- |
| if [ ! -f ${NC_EXPL_CFG}/init.conf ] |
| then |
| echo "Fichier d initialisation du socle ${NC_EXPL_CFG}/init.conf n existe pas !" |
| echo "Arret du script par securite" |
| exit 250 |
| else |
| . ${NC_EXPL_CFG}/init.conf |
| fi |
+----------------------------------------------------------------------------------------------------+
Voici les éléments qui devraient être présents a minima dans les script Bash. Ceci est recommandé pour assurer une homogénéite dans l’ensemble du socle.
#!/bin/bash
##----------------------------------------------------------------------------
.
<CARTOUCHE>
.
##----------------------------------------------------------------------------
#-----------------------------------------------------------------------------
# Initialisation de l environement
#-----------------------------------------------------------------------------
if [ ! -f ${NC_EXPL_CFG}/init.conf ]
then
echo "Fichier d initialisation du socle ${NC_EXPL_CFG}/init.conf n existe pas !"
echo "Arret du script par securite"
exit 250
else
. ${NC_EXPL_CFG}/init.conf
fi
#-----------------------------------------------------------------------------
# Definition des fonctions
#-----------------------------------------------------------------------------
#
function fct_un
{ ...
}
#-----------------------------------------------------------------------------
function fct_deux
{ ...
}
#-----------------------------------------------------------------------------
# Programme principal MAIN
#-----------------------------------------------------------------------------
#
fct_message "${SH_PROG}"
fct_message "version ${SH_PROG_VERSION}"
# -- Initialisation des variables par defaut
# -- ---------------------------------------
G_VAR1=${G_AVR1:="Valeur par defaut"} # <Comentaire>
...
# -- Contrôle de cohérence des options
# -- --------------------------------
# -- Traitement
# -- ----------
...
fct_erreur 0
Note: La construction G_VAR1=${G_AVR1:=“Valeur par défaut”} permet de définir une variable avec une valeur par défaut, qui peut être surchargée dans le fichier de configuration ${NC_EXPL_CFG}/<Nom_du_script>.conf
Concernant les fonctions fct_message et fct_erreur voir le chapitre V.
Le script commence par le chargement de la configuration “. ${NC_EXPL_CFG}/init.conf“ un certain nombre d’actions sont effectuées par défaut en plus de l’initialisation des variables de session.
Cette analyse ne fonctionne que si les options ont été déclarées dans l’entête du script (Cf. III.1.1.2)
Les fichiers temporaires doivent etre écrits dans le répertoire ${NC_EXPL_TMP}. Les noms des fichiers temporaires sont de la forme : <Libre>_${SH_SESSION_ID}.tmp De cette facon il seront gérés par le socle (Suppresion automatique).
Les noms des fichiers doivent être de la forme :
<pre>_<descr>
<pre>_<descr>.<language>
<pre>_<app_source>_<app_dest>[_<libre>].<language>
<app>_<descr>.<language>
<pre>: est une des valeurs suivantes : “sys”, “dba”, “exp”, “ctl”, “aud”, “int“
<descr> est libre, doit refléter si possible la fonction du script.
<language> est une des valeurs suivantes :
“sh” : Script Bash.
<app> est le nom de l’application à laquelle le script est dédié. Ces scripts sont réservés à une application particulière dans le cadres de l’exploitation réccurente de l’application.
Syntaxe: fct_message [-cpt] [-hist] [-nolog] [-debug N] [-color Couleur] “<Message à ecrire>“
Usage: Cette fonction est à utiliser en remplacement de la commande “echo”. Elle ajoute l’horadatage au message et gère la ventilation des écritures dans les differents fichiers de traces.
Fonction: Par défaut le message est affiché sur le terminal et est écrit dans le fichier journal ${NC_EXPL_LOG}/<nom_du_script>.log
Les options modifient la destination de l’écriture :
Ces étapes doivent impérativement être suivies et dans cet ordre.
Il n’est pas possible d’imbriquer des tableaux.
Définition: Elle est réalisée par l’appel de la fonction fct_affiche_ligne avec l’argument entête. La forme est alors la suivante :
fct_affiche_ligne entete "{Titre}" "{Colonne_1},{Taille_1}" "{Colonne_2},{Taille_2}" "{Colonne_3},{Taille_3}" "{Colonne_4},{Taille_4}" ...
ou bien:
fct_affiche_ligne entete "{Titre}" "Groupe1({Colonne_1},{Taille_1}:{Colonne_2},{Taille_2})" "{Colonne_3},{Taille_3}" "{Colonne_4},{Taille_4}" "Groupe2({Colonne_4},{Taille_4}:...)"
Affichage des éléments:
fct_affiche_ligne "<Element1>" "<Element2>" ...
Fermeture du tableau: Cette action permet de libérer les variables de session qui ont été créées
fct_affiche_ligne pied
Exemples:
fct_affiche_ligne entete "Un tableau" "C1,10" "C2,10" "c3,10"
fct_affiche_ligne A B C
fct_affiche_ligne 1 "" 3
fct_affiche_ligne pied
affichera:
--------------------------------------
Un tableau
--------------------------------------
C1 | C2 | c3
--------------------------------------
A |B |C
1 | |3
--------------------------------------
et
fct_affiche_ligne entete "Un Autre tableau" "C1,10" "G1(C2,20:C3,10:C4,3)" "C5,15"
fct_affiche_ligne A B C D E
fct_affiche_ligne 1 "" 3 3 4
fct_affiche_ligne pied
affichera:
------------------------------------------------------------------------
Un Autre tableau
------------------------------------------------------------------------
| G1 |
C1 |-----------------------------------------| C5
| C2 | C3 | C4 |
------------------------------------------------------------------------
A |B |C |D |E
1 | |3 |3 |4
------------------------------------------------------------------------
N est un entier positif dont les valeurs suivantes sont reservées :
0 : Fin normale du script
250 : <lib:fct_erreur> Appel de la bibliothèque sans le numero d'erreur (<N> non renseigne !)
251 : <lib:fct_erreur> La description de l'erreur <N> n'existe pas dans le fichier <script>.msg
252 : <lib:fct_erreur> Le fichier <script>.msg n'existe pas
253 : <lib:fct_erreur> La description de l'erreur dans le fichier <script>.msg est incorrecte
254 : <lib:fct_params> Erreur a été remontée par la bibliothèque
255 : <lib:fct_erreur> Appel de la bibliothèque avec un numero d'erreur >= 250
256 : réservé pour un futur usage
Le fichier <script>.msg: Contient les descriptions des codes erreur.
Un code par ligne de la forme:
<NumErreur> | <type> | <action> | <message> ou <fonction>
<NumErreur>: Entier positif identifiant l’erreur
<type>: prend les valeurs erreur, alert ou info. Colorise le message en fonction du type respectivement rouge, orange et bleu
<action>: Action à realiser (continu, stop, exec)
<fonction>: Fonction à exécuter. Ce champs peut contenir des variables qui seront valorisées.
<message>: Message à afficher (dans les traces et sur la sortie standard). Ce champs peut contenir des variables qui seront valorisées.
Elle est appelée à l’initialisation des variables de session lors du chargement du fichier ${NC_EXPL_CFG}/init.conf
Cette fonction extrait les lignes de déclaration “# OPT:” et les compare aux arguments sousmis au script.
Pour plus d’information voir le paragraphe III-1.1.2