TetaTricks/chap/reseau.tex

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5.3 KiB
TeX

\chapter{Les intertubes}
\label{Internet} \index{Internet}
Ah, le grand Internet sauvage, il serait temps qu'on en parle un peu.
Nous allons voir dans ce chapitre quelques utilisations
que l'on peut qualifier de «~créatives~».
Si vous attendiez des choses plus sérieuses, j'ai aussi ça
en magasin : \textsc{dns} page \pageref{DNS},
\textsc{ssh} page \pageref{ssh},
streaming page \pageref{streaming},
et probablement bien d'autres à venir.
% http://dougvitale.wordpress.com/2011/12/21/deprecated-linux-networking-commands-and-their-replacements/
% ==============================================================
\section{xinetd}
\index{xinetd}
\label{xinetd}
Xinetd est un \textit{super-server daemon} qui gère l'accueil
et le lancement pour certains services Internet essentiels
tels que \texttt{daytime}\index{daytime} ou
\texttt{echo}\index{echo}.
Par rapport à son ancêtre
\texttt{inetd}\index{inetd}, décrit en page \pageref{inetd},
il offre plus
de souplesse dans la configuration et la gestion des droits
d'accès.
\subsection{qotd}
\index{qotd}
À titre d'exercice, nous allons reprendre l'exemple du serveur
de \textsl{quote of the day} que nous avons déja utilisé avec
Inetd\index{inetd}, et lancer le
petit script par l'intermédiaire de Xinetd.
Pour cela, il faut créer dans le répertoire
\texttt{/etc/xinetd.d/}\footnote{Attention, ce répertoire
est peut-être un debianisme, ymmv.} un fichier nommé
\texttt{qotd} et contenant ceci :
\begin{verbatim}
service qotd
{
disable = yes
type = UNLISTED
socket_type = stream
protocol = tcp
user = nobody
server = /usr/local/bin/qotd.sh
}
\end{verbatim}
Bien entendu, le script \texttt{qotd.sh} décrit en page
\pageref{inetd} sera placé dans le bon répertoire.
Ensuite, il faut demander à Xinetd de relire ses fichiers de
configuration par un signal bien senti et au bon endroit.
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\section{Translation d'adresse}
\index{NAT}
Voir en page \pageref{NAT} pour découvrir comment utiliser une
machine connectée en WiFi pour donner accès à Internet à votre
réseau local Ethernet\dots
Mais cette translation d'adresse peut avoir aussi d'autres
défits à relever pour en faire une solution complexe et
amusante à des problèmes inexistants et datant du siècle
dernier. Par exemple la comparaison de la mise en œuvre du NAT
avec
\texttt{iptable} et \texttt{pfctl} est une source de trolls
sans fin.
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\section{Iodine}
\index{iodine}\label{iodine}
Iodine, c'est quoi ? C'est un ensemble de logiciels qui permettent
de se brancher sur l'Intertube même si on n'a pas d'accès
«~autorisé~» par la voisine qui a déménagée vers la
lointaine campagne avec sa friboite.
\begin{quote}
This is a piece of software that lets you tunnel IPv4 data through a
DNS server. This can be usable in different situations where internet
access is firewalled, but DNS queries are allowed.
The name iodine was chosen since it starts with IOD (IP Over DNS)
and since iodine has atomic number 53, which happens to be the DNS
port number.
\end{quote}
À ce jour (2 septembre 2013) ce que vous allez lire est basé
sur la version \texttt{0.6.0-rc1} et sera probablement plus ou
moins incompatible avec les versions précedentes ou suivantes, ymmv.
\begin{verbatim}
root@plop:iodine-0.6.0-rc1# bin/iodine teton.mooo.com -f -P m
Opened dns0
Opened UDP socket
Sending DNS queries for teton.mooo.com to 192.168.1.1
Autodetecting DNS query type (use -T to override)..................
iodine: No suitable DNS query type found. Are you connected to a network?
iodine: If you expect very long roundtrip delays, use -T explicitly.
iodine: (Also, connecting to an "ancient" version of iodined won't work.)
\end{verbatim}
\subsection{Coté serveur}
Je pense qu'il faut commencer par voir du coté du DNS
pour déléguer une sous-zone à la machine qui va faire tourner
le serveur iodine. Mais j'en suis pas certain. RTFM.
\subsection{Coté client}
Je n'en sais pas plus non plus...
\begin{verbatim}
sudo bin/iodine -f -P s3cr3tp4ssw0rd i.buvette.org
\end{verbatim}
Donc, n'ayant plus vraiment (pour le moment) le besoin d'utiliser
ce passe-muraille, je vais laisser ce passage en l'état...
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\section{outils de diagnostic}
iftop\index{iftop},
iptraf\index{iptraf}
\dots
% -------------------------------------------------------------
\subsection{tcpdump}
\index{tcpdump}
C'est clairement un outil dédié au voyeurisme :)
% -------------------------------------------------------------
\subsection{nmap}
\index{nmap}
C'est clairement un outil dédié au voyeurisme :)
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\section{netcat}
\index{netcat}
\begin{quote}
The nc (or netcat) utility is used for just about anything under the sun
involving TCP or UDP. It can open TCP connections, send UDP packets,
listen on arbitrary TCP and UDP ports, do port scanning, and deal with
both IPv4 and IPv6. Unlike telnet(1), nc scripts nicely, and separates
error messages onto standard error instead of sending them to standard
output, as telnet(1) does with some.
\end{quote}
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